On s’en fait un quand même ?
Un billet, malgré l’heure ? Allez, courage ! On s’en fait un ! Mais alors, un bric à brac !
Lutin est en vacances. Depuis ce midi il est en vacances. Je ne me souvenais pas qu’on avait autant de vacances, à l’école. Ses vacances commencent. Les miennes ont cessé il y a quelques heures (Hou la vilaine !). Il était tout fier de ramener son classeur à la maison. Il m’a obligée à le feuilleter avant de manger. Dans le classeur, il y a les paroles des poésies et comptines, et puis ses chefs d’œuvre… quel talent !
Dans le cahier, il y avait le récit de la ballade dans les bois, et puis des photos.
Lutin est en vacances, et pour ce premier après midi de vacances, un copain est venu jouer à la maison. Enfin, un copain…le petit qu’il l’a sauvagement mordu ! C’est pas de chance, mais le petit avec qui il se frite est le fils d’une amie. Malgré tout, la maison, c’est pas l’école, et les rancunes ont été oubliées sur le tapis de jeu.
Lutin est en vacances, et il va pouvoir consulter à loisir les nombreux catalogues de jouets que l’on a reçu. Chaque jour, il les ouvre. Il veut tout ! TOUT ! On a beau lui expliquer que Papa Noël n’est pas un américain, il s’en fiche, il veut tout.
Début novembre, j’irai au repérage. Je sais, c’est tôt, mais on a du monde à gâter, nous ! Manu est parrain, je suis marraine… et d’enfants en bas age. J’aime pas courir les magasins la veille de Noël (même si chaque année ça se produit). Au moins, le plus gros des achats sera fait avant.
Avant Noël, il y a halloween. Avec d’autres mamans, on emmène les petits faire halloween mercredi après midi. Il faudra du maquillage… et quelques ballons, et un goûter ! Que de réjouissances !
Non ! Faux ! Pas que des réjouissances ! Des petites contrariétés aussi. Mineures, mais contrariétés quand même ! Des chagrins d’argent. Rassurez vous, ils n’ont pas une importance vitale, mais quand même, ça énerve !
En fait, nous avons vendu notre maison, dans le Perche, le six janvier dernier. On s’était mis d’accord avec les acquéreurs. Nous devions nous acquitter de la taxe foncière, et ils devaient nous rembourser au prorata des jours de propriété. Le six janvier, qu’on a vendu ! Autant vous dire que la somme qu’on doit réellement payer est dérisoire. Seulement, on a payé pour la totalité de l’année, et le remboursement du (gros) reste tarde à venir. Enfin bon… tant qu’on a la santé, comme on dit…
De même, on a un petit soucis avec l’entreprise qui nous a posé nos fenêtres et portes. Les fenêtres et portes ont été posées sans soucis. Ce n’est pas le cas des persiennes. Il y a un jour immense et anormal entre chaque lame quand ils sont fermés. Un expert est passé. Ils ont été changés. Les nouveaux ont donné le même résultat. En fin de compte, ils avaient accepté cette commande sans soucis, alors qu’ils n’avaient jamais fait ça ( ils n’avaient jamais posé de persiennes pour des fenêtres aussi larges que les nôtres). Du coup, on est pour le moment avec ces persiennes qui servent à rien et on attend qu’ils trouvent une solution. Bon, le bon coté des choses, c’est que l’entreprise, très sérieuse, ne nie pas sa responsabilité, reste joignable à tout moment et nous renseigne souvent sur le suivi de notre dossier. L’autre bonne nouvelle, c’est que s’ils ne trouvent pas de solution acceptable, ils nous poseront des volets roulants à la place en dédommagement !
Comme il n’y a pas que des mauvaise nouvelles (et heureusement !), nous partirons jeudi matin pour le Perche, pour quatre jours. Malheureusement, c’est surtout pour…
NON !
Je voulais finir sur un truc chouette ! Nous allons retrouver dans six jours nos vertes prairies et… nos gros pulls !
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